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13 novembre 2006 1 13 /11 /novembre /2006 20:00


Publié le 5-11-2006

Comme à Jenine et à Naplouse en avril 2002, l’armée israélienne massacre dans la Bande de Gaza transformée en souricière. Les missiles pleuvent des drones fabriqués avec le concours de la technologie française. Des Laisserons-nous faire ? Ci-dessous un nouveau témoignage accablant recueilli par Silvia Cattori
.

[b]
« Beit Hanoun, avec ses 30.000 habitants, était déjà l’objet d’agressions quotidiennes et de frappes aériennes depuis le 25 juin. Maintenant elle est assiégée par des troupes israéliennes au sol. Nous avons vu les chars avancer, se mettre en place. Nous sommes maintenant encerclés par environ 70 chars et au moins 450 soldats qui ont annoncé que la ville est « zone militaire fermée ». Ce qui veut dire que personne ne peut sortir. Personne ne peut s’enfuir. C’est une offensive sur le mode de celles menées en 2002 en Cisjordanie.







Ce matin, les femmes sont sorties pour voler au secours de leurs fils ou maris menacés par les blindés qui encerclaient la mosquée. Les femmes ont défié les Apaches et les chars. Ce fut pour nous un moment formidable. On s’est senti comme enveloppés dans un voile d’humanité. C’était un moment très fort de voir ces femmes prêtes à aller à la mort pour sauver la vie de leur fils, de leur mari. Elles ont continué sans hésiter et les soldats, qui ne s’y attendaient pas, ont été désorientés. Grâce à cet effet de surprise elles ont réussi, sauvé la vie de ces combattants. Elles ont montré que la plus grande armée du monde peut être vaincue par des gens aux mains nues. Nous avons perçu cela comme un message adressé aux hommes des pays arabes qui restent silencieux. Ces femmes ont dit, par leur geste :
« Voila, face à votre lâcheté, les femmes palestiniennes sont seules en train lutter pour libérer leurs hommes assiégés par l’ennemi des Arabes, Israël ».








La situation des enfants dans les territoires occupés révèle des chiffres accablants : en 2000, 99 enfants, dont 22 âgés de 8 à 12 ans, sont morts suite à des bombardements ou à des tirs ciblés. Aussi, depuis le début de l’Intifada, on observe une augmentation des arrestations des enfants : plus de 1000 enfants, âgés de 12 à 17 ans ont été arrêtés, et à ce jour 160 d’entre d’eux sont toujours dans des prisons israéliennes. L’Etat d’Israël, qui a pourtant ratifié la Convention internationale des droits de l’enfant, viole une partie de ces dispositions et s’octroie de facto une liberté d’action bien supérieure lorsqu’il s’agit des enfants palestiniens détenus.

Concernant l’arrestation, elle a le plus souvent lieu sur le trajet de l’école ou durant la nuit, en présence des parents. L’objectif, pour les soldats israéliens, au-delà de la peur et de la violence générées au sein de la cellule familiale, est d’amener l’enfant à avouer toute information utile. Si l’on peut considérer qu’un acte de torture est commis dès lors que l’enfant est frappé et qu’il a peur, on estime que 90% des enfants palestiniens subissent la torture. La nouveauté introduite au cours de la 2e Intifada, c’est que cette dernière touche un plus grand nombre d’enfants, et les jugements appliqués sont de plus sévères et toujours plus inappropriés à l’âge de l’enfant. En effet, au titre de l’ordre 132, qui ne donne aucun droit aux enfants palestiniens, les jugements se déroulent dans des tribunaux militaires et non dans des tribunaux pour enfants. Trois types de peine peuvent être prononcés :


- La condamnation ferme : alors qu’avant l’Intifada, un jet de pierres était répréhensible d’une peine maximum de 3 mois, actuellement, le minimum est de 8 mois. De plus, si l’enfant est à nouveau arrêté au cours des 5 années suivantes, il devra purger une peine de 16 mois avant son jugement.

- La peine avec sursis, d’un minimum de 16 mois

- L’amende : totalement illégale, elle est pourtant largement pratiquée, variant de 300 USD à plus. Nul n’est besoin de dire combien ce type de pratique rend la vie quotidienne plus difficile pour la famille, étant ainsi obligée de payer l’amende plutôt que d’acheter le lait pour les enfants





 

C. Léostic
[b]

19 civils palestiniens ont été assassinés la nuit dernière par des tirs israéliens qui ont fait aussi des dizaines de blessés. Huit enfants et quatre femmes sont morts. Onze personnes d’une même famille, les Al-’Athamneh ...
Selon des sources palestiniennes, des chars israéliens postés à la frontière nord de Gaza ont tiré sur les maisons.

La maison des Al-’Athamneh a été rasée et beaucoup d’autres ont été endommagées. D’où le nombre élevé de morts et de blessés.

Ne’meh Al-’Athamneh, Mohammed Al-’Athamneh, Mahmoud Al-’Athamneh, Mahdi Al-’Athamneh, Sa’ed Al-’Athamneh, Moha,med Al-’Athamneh, Fatmeh Al-’Athamneh, Nihad Al-’Athamneh, Arafat Al-’Athamneh, Dima Al-’Athamneh (une petite fille d’un an), et Ala’ Al-’Athamneh ont été assassinés.

Les médecins des hôpitaux Kamal Adawan et de Beit Hannoun indiquent que les corps étaient si mutilés qu’ils n’ont pu tous les identifier. Certains blessés sont dans un état très grave.











Beit Hanoun 8 11 2006

Déjà à 01 heure ce mercredi, des chars et des bulldozers de l’armée israélienne ont ré-envahi Beit Hanoun, détruit des terres agricoles et tiré sur des maisons, selon des témoins oculaires.

D’après le quotidien israélien Haaretz, Khaled Radi, un responsable du ministère palestinien de la Santé, a confirmé que tous les morts sont des civils.











"Des Humiliations, des tortures, des prisons insupportables, et des peines de prison qui peuvent arriver parfois jusqu'à mille ans ..."
Telles sont les expressions que répètent les détenus palestiniens dans l'espoir que la Communauté Internationale vienne à leur secours et mettre fin à leur grande souffrance dans les prisons de l'occupation israélienne.






Malheureusement, personne ne prête attention à leurs demandes justes, au moment où tout le monde est mobilisé pour libérer trois soldats israéliens capturés dans leurs postes militaires par la résistance palestinienne et libanaise.

Malgré les rapports du Ministre des Affaires des prisonniers et libérés qui précise que plus de 700.000 palestiniens ont été détenus par l'occupation sioniste depuis 1967, ce qui égale 25% de la totalité de la population palestinienne en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Malheureusement, personne ne prête attention à leurs demandes justes, au moment où tout le monde est mobilisé pour libérer trois soldats israéliens capturés dans leurs postes militaires par la résistance palestinienne et libanaise.




BOYCOTT DES PRODUITS ISRAÉLIENS : CHACUN A LES MOYENS D’AGIR

Publié le 24-04-2006

Le boycott des produits israéliens, à l’heure où le gouvernement israélien affame la population palestinienne, en plus d’annexer ses terres, de piller ses ressources, d’emprisonner et d’assassiner un peuple sans défense sur une terre occupée, est le minimum que nous puissions faire en tant que citoyens. Tout comme pour l’Afrique du Sud de l’apartheid, le boycott des produits israéliens ne peut se réduire à s’abstenir d’acheter certains produits « made in Israël ». Nous devons également faire savoir à ceux qui proposent ces produits à la vente qu’ils sont dans l’illégalité, en ne respectant pas ni les droits de l’homme, ni le droit international, et souvent même ni la réglementation en vigueur en matière de traçabilité.

Les Carrefour, Auchan, Champion... ou autres grandes surfaces qui exposent dans leur rayons des produits israéliens, c’est-à-dire des produits d’un pays qui en occupe un autre, qui ne respecte ni les résolutions de l’ONU votées par la France, ni les conventions de Genève, signées par la France, n’ont aucune éthique.

Les fruits et légumes « israéliens » ont en outre souvent été produits sur des territoires palestiniens occupés, en pompant la terre et l’eau palestiniennes. Mais Israël, qui bénéficie d’avantages considérables sur le plan commercial (détaxes réservées aux pays de l’Union Européenne) ne se risquera jamais à indiquer leur véritable provenance (telle ou telle colonie en Cisjordanie).[b]

source: nourislam.xooit.com

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7 mai 2005 6 07 /05 /mai /2005 00:00
Dans cette page ,il ya  des photos qui peuvent choquer certaines personnes sensibles et  c'est pas de la rigolade!!! Si t'es sensible, je te conseille  vraiment pas
 
 
 
 
 
 
 
 
 
photo choc palestine     

Les organisations non gouvernementales « Save the Children » (Suède) et « Defence for Children International » se sont associées à l’Unicef pour lancer hier, à Jérusalem, une campagne de sensibilisation au sort des enfants palestiniens détenus dans les prisons israéliennes.

Depuis le déclenchement de l’intifada, plus de 2.000 enfants ou adolescents palestiniens de 11 à 18 ans ont été emprisonnés par les forces de sécurité. Pour l’heure, 353 d’entre eux sont toujours derrière les barreaux, aux mêmes conditions que les adultes, dans des établissements pénitentiaires et dans les camps de détentions spéciaux.

"Il s’agit d’une violation flagrante de plusieurs conventions internationales, dont celle de 1989 sur les droits de l’enfant", affirme Jessica Sandberg, une Suédoise envoyée dans la région par la Commission internationale des juristes (CIJ) afin de suivre, en compagnie d’avocats, la manière avec laquelle ces détenus sont traités par les cours militaires chargées de les juger.

"Le 9 mai, j’ai assisté en personne au procès de neuf mineurs d’âge par un tribunal militaire. Ces enfants sont arrivés au tribunal avec un uniforme marron de détenu, enchaînés et escortés de soldats en armes. Ils n’avaient pas vraiment conscience de ce qui leur était reproché. Leur avocat n’a pas eu le temps d’expliquer leur dossier au juge : celui-ci voulait réduire l’audience au minimum."

Selon les promoteurs de la campagne, 90 % des mineurs d’âge condamnés auraient lancé des pierres sur des soldats ou sur des chars. Une « atteinte à la sûreté de l’Etat », selon les lois militaires édictées par Tsahal. Pris en flagrant délit ou arrêtés à la sortie de l’école sur dénonciation, ces enfants disparaissent de la circulation durant plusieurs semaines (ou plusieurs mois) sans que les parents soient informés de leur interpellation. C’est notamment le cas de Rakan Sweird (12 ans), un gamin de Jéricho dénoncé comme lanceur de pierres et enlevé par des soldats qui l’attendaient à la sortie de toilettes. Au terme d’un procès expéditif, il a écopé de six mois de détention ferme, de huit mois de probation et d’une amende de 6.000 shekels (1.100 euros). Tenus à distance, ses parents ont eu deux minutes en tout et pour tout pour le réconforter le jour de l’audience. Sauf en cas de révolte comme ce fut le cas à plusieurs reprises en 2003, les médias israéliens n’évoquent pas souvent le cas des enfants palestiniens détenus. En outre, il est impossible d’obtenir de Tsahal (l’armée) des informations sur la répartition des âges de ces détenus, sur les faits qui leur sont reprochés et sur les peines prononcées. Cependant, l’organisation israélienne de défense des droits de l’homme B’Tselem confirme les témoignages écrits ou filmés recueillis par les promoteurs de la campagne et selon lesquels une partie de ces détenus serait soumise à des punitions dégradantes (l’interdiction d’aller aux toilettes avant 22 heures) ou à des mauvais traitements (privation de sommeil et coups durant les interrogatoires).

Devenus dépressifs et parfois poussés au suicide, bon nombre de ces mineurs sont également coupés de leur famille puisque leurs parents vivent dans les territoires et qu’ils ne sont pas autorisés à pénétrer en Israël pour leur rendre visite. Une règle qui souffre pourtant de quelques exceptions puisque la Croix-Rouge parvient, dans la plus grande discrétion, à décrocher des permis de visite au compte-gouttes. "Nous voulons rendre ce dossier public car on y trouve une liste incroyablement longue de violations des droits humains les plus élémentaires, déclare Ibrahim Al-Masri, le responsable du département juridique de « Defence for Children International ».

Nous disposons de témoignages précis sur des cellules de neuf mètres carrés dans lesquelles s’entassent une vingtaine d’enfants ainsi que sur des privations de nourriture et de lumière infligées à des gamins. Il faut que cela se sache."

Serge DUMONT- Le Soir



 Voici, quelques photos chocs accompagnés de témoignages de pauvres enfants palestiniens :



photo choc palestine                  



            



photo choc palestine                  



 Je m'appelle Alayyan Zayed, j'ai 9 ans. Je ne peux pas jouer dans ma cour. Je ne peux pas sortir devant la porte d'entrée de ma maison à cause du couvre-feu. J'ai caché mes jouets parce que j'ai peur que les soldats israéliens m'emmènent parce que j'ai des fusils jouets et des tanks jouets. Je ne peux même pas aller au magasin acheter des bonbons à cause du couvre-feu.


photo choc palestine                  



photo choc palestine                  



Voici une lettre de Rana au monde entier: En ce moment, mon père est au loin. Quand j'ai remarqué pour la première fois que ma sSur et ma mère pleuraient en regardant la TV où on voyait les soldats israéliens qui tuaient les hommes qu'ils avaient arrêtés, j'ai cru que mon papa était l'un d'eux. J'ai commencé à pleurer et pleurer et puis au bout d'une minute je me suis demandée pourquoi je pleure, c'est notre destinée. Mon père est policier et nous devons résister.


photo choc palestine                  



Je m'appelle Lema Zayed, j'ai 11 ans: je veux aller à l'école finir mes études cette année. Je veux être libre pendant l'été, aller nager et m'amuser. Je veux que les soldats israéliens quittent notre pays, arrêtent l'occupation et arrête d'utiliser ces gros tanks. Nous n'avons rien pour les confronter. Je ne veux pas qu'ils occupent nos maisons ou qu'ils tirent des obus dessus.


photo choc palestine                  



photo choc palestine                  



Je m'appelle Ahmed Tuqan, j'ai 7 ans. Depuis que l'Intifada a commencé, nous avons commencé à déménager d'une maison à l'autre. Chaque semaine, nous habitons une maison différente. Les Israéliens entrent dans les maisons et ils font peur aux gens. Quand ils sont entrés dans Jérusalem, nous avons déménagé à Ramallah et quand ils sont entrés à Ramallah, nous avons déménagé à Jérusalem.


photo choc palestine                  



photo choc palestine                  



Mustafa Mulhem, 8 ans: je veux dire merci aux pays étrangers parce qu'ils veulent aider les enfants palestiniens. Notre situation est très, très mauvaise. Nos villes sont occupées, Je suis à Ramallah, c'est l'occupation totale par les soldats israéliens, la ville est pleine de tanks et de véhicules militaires. J'ai du chagrin pour les shuhada (morts) et les blessés mais nos hôpitaux et nos docteurs nous protégerons.


photo choc palestine                  



photo choc palestine                  



Je m'appelle Ala' Jibrin, j'ai 12 ans: j'habite Ramallah dans une vieille maison d'une pièce. Il n'y a pas de toilettes, alors nous utilisons les toilettes dehors (lieux d'aisances) de nos voisins, à 30 mètres de chez nous. Les soldats israéliens nous empêchent d'y aller ou d'aller à la cuisine, qui est aussi à l'extérieur de chez nous. Nous ne pouvons même pas faire la cuisine. Nous sommes 8 frères et sSurs dans cette situation difficile. Nous n'y comprenons rien et nous ne savons pas quoi faire, si nous sortons, il se pourrait qu'ils nous tirent dessus. En plus, les soldats jettent leurs ordures, ils chient et pissent devant notre porte d'entrée. L'électricité est coupée depuis hier. Nous sommes nerveux et c'est une situation psychologiquement difficile. Nous demandons à Dieu et à toute personne sur cette terre qui a des sentiments humains de s'interposer et de mettre fin à ce cauchemar que vivent les enfants palestiniens.


photo choc palestine                  



photo choc palestine                  



Je m'appelle Yanal Zayed, j'ai 4 ans. Je veux nager. Je veux être chez moi, avoir une maison et une fenêtre pour regarder dehors.


photo choc palestine                  



Je m'appelle Sara Atrash, j'ai 5 ans, Mamam, je t'aime.


photo choc palestine                  



Heba Burkan: 12 ans: Nous désirons ardemment la paix et la sécurité. Nous voulons de l'amour et de l'affection. Donnez-nous notre enfance et la liberté.


photo choc palestine                  



photo choc palestine                  



Ahmed Atrash, 8 ans: C'est une situation très difficile. Je m'ennuie. Mes parents ne me laissent pas jouer dans la cour. Ils ne me laissent pas regarder la TV, parce qu'ils regardent les nouvelles. Je suis triste pour les shuhada (morts) et j'étais encore plus triste quand j'ai entendu que leur nombre augmentait. Mais je joue avec mes amis dans le quartier. Mon seul souhait est que les soldats israéliens partent de mon pays et c'est le meilleur vSu que je fais.


photo choc palestine                  

Les opprimés sont devenus les oppresseurs...




photo choc palestine                  



Ala' Jibrin, 12 ans: Pendant qu'on dormait, on a entendu un bruit de verre cassé. Nous avons regardé par la fenêtre et avons vu des soldats israéliens qui cassaient les vitres des voitures et qui volaient les lecteurs de CD. Ils ont cassé les vitres de notre voiture mais, Dieu merci, ils n'ont pas volé notre lecteur. Le matin, 15 soldats sont entrés chez nous en criant. Ils ont tout mis sens dessus dessous, ils ont arrêté mon père et nous ont gardés dans notre petite cuisine à l'extérieur de la maison. Je crois qu'ils ont emmené mon père parce qu'il avait un drapeau palestinien. Je les ai vus battre très fort les hommes qu'ils avaient arrêtés. Est-ce que ce n'est pas en soi du terrorisme, oh mon Dieu!


photo choc palestine                  



1photo choc palestine 2photo choc palestine
3photo choc palestine 4photo choc palestine
5photo choc palestine --->  Le père a tenté de sauver son fils des soldats israeliens mais en vain...l'enfant est mort juste après une frayeur inimaginable et son père gravement blessé n'a rien pu faire...il a tenter de le protéger des balles mais elles allaient ds tous les sens!! imagine ton fils à la place de l'enfant et imagine toi à la place du père...Les palestiniens vivent une grande injustice et nous, on fait koi??



photo choc palestine                  



Mizer Jibrin, 15 ans (frère d'Ala). Les soldats israéliens nous ont empêchés de sortir pour aller à la cuisine ou aux toilettes. Nous étions dans une situation incroyable. Comme les toilettes sont loin de la maison, mes plus jeunes sSurs utilisaient une boîte à ordure vide. J'ai refusé et insisté pour aller aux toilettes dehors. Mes parents ont essayé de m'empêcher, et comme j'insistais il ont été d'accord en me disant de faire attention. Quand j'ai eu fini aux toilettes, les soldats m'avaient encerclé et m'ont demandé de mettre les mains en l'air. L'un d'eux m'a poussé et a commencé à me questionner: Qu'est-ce que tu fais, comment tu t'appelles, quel âge as-tu? Je leur ai répondu et ils allaient me battre quand mon père a crié: «arrêtez, arrêtez, c'est un enfant qui est sorti pour aller aux toilettes». Ils m'ont relâché et ont fait irruption dans la maison. Ils ont emprisonné mes sSurs, mes frères et moi dans notre petite cuisine et ont détruit nos affaires. Ils ont arrêté mon père et l'ont battu avec d'autres hommes. Puis ils leur ont couvert la tête avec des sacs en plastique en les emmenant vers une destination inconnue. J'ai connu l'occupation et je n'oublierai jamais, jamais. Je veux dire arrêtez votre occupation, arrêtez votre tyrannie et arrêtez votre tuerie, arrêtez...


photo choc palestine                  



Alayyan Zayed, 9 ans: Les soldats israéliens tuent les hommes jeunes et effrayent les enfants. Ils emprisonnent les soldats palestiniens et tuent les journalistes. Soutenez-nous et protégez-nous


photo choc palestine                  



photo choc palestine                  






ہ vous tous,


Je suis la directrice du Centre culturel Khalil Sakakini de Ramallah, je vous écris de chez moi pendant le siège. Vous trouverez ci-joint 13 courts témoignages d'enfants palestiniens qui vivent sous le siège à Ramallah. Veuillez les publier et les diffuser immédiatement.


Ces témoignages ont été transcrits en arabe par Mme Manal Issa, préposée aux finances et à l'administration du Centre Sakakini, et ils ont été traduits en anglais, puis en français. Nous espérons que vous pourrez les publier comme «instantanés» sur le sort qui est nôtre, nous les Palestiniens assiégés par les Israéliens.


Merci et salutations, Adila Laïdi



photo choc palestine                  



Soubhanaallah , tout ce que ces enfants subissent tous les jours et ils gardent tous le sourire, faisons des douas pour ces enfants qui souffrent, et prenons conscience de ce que nous donne tous les jours Allah (swt) , n'oublions pas de dire el hamdoulillah pr ce qu'Il nous fait manger, pour ce qu'Il nous fait boire,pour ce qu'Il nous donne pour nous vetir, pour ce toit sous lequel on dort et pour cette paix qui est la pour chacune de nos journees. Nos petits problèmes existentiels ne sont rien comparés aux souffrances de ces enfants. Alors dites :


EL HAMDOULLILLAH RABBI EL ALAMIN



photo choc palestine
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